Les coiffures afro, emblèmes puissants de culture et de l’identité afro, connaissent aujourd’hui une popularité sans précédent à l’échelle mondiale. Au fil des ans, ces coiffures ont associé traditions et modernité. Les dreadlocks, par exemple, fusionnent spiritualité et modernité, traversant diverses cultures tout en portant une signification profonde.
J’en profite alors de cet occasion pour vous présenter 5 des coiffures afro les plus populaire et leurs origines :
les Dreadlocks
Les dreadlocks,ou encore appelées locs ou dreads par certains, sont une coiffure d’origine africaine et caribéenne. Elles tirent leurs origines de l’Égypte antique et de l’Inde, les dreadlocks sont portées depuis des milliers d’années. Dans la culture africaine, les dreads portent plusieurs significations. Au Kenya, les guerriers Mau Mau portaient cela pour signifier la rébellion contre le colonialisme britannique dans les années 1950.En Jamaïque, chez les rastafari, les locs sont considérées comme une manifestation physique des croyances spirituelles et culturelles, ainsi que l’acceptation de la rébellion contre l’oppression. Aujourd’hui, les dreadlocks sont adoptées par des personnes de toutes origines et sont souvent vues comme un symbole d’identité culturelle, de spiritualité et d’expression personnelle.
Les Tresses ou Braids
Portées autrefois par les Yoruba, les Himba, et les Peuls, les tresses africaines ont une histoire très riche qui remonte à bien avant notre ère, précisément à 22 000 ans avant Jésus-Christ. Leur utilité ne se limitait pas à l’aspect esthétique, mais servait aussi à exprimer l’appartenance culturelle et à affirmer l’identité ethnique. Les tresses permettaient de distinguer l’âge, la religion, le statut social, et même la richesse d’une personne. Elles étaient fièrement arborées aussi bien par les hommes que par les femmes ; par exemple, plus la coiffure était complexe, plus la personne était considérée comme aisée financièrement ou issue d’une bonne famille. Avec le temps, notamment à cause de l’esclavage, ces coiffures se sont répandues dans le monde entier et sont devenues un symbole de résistance culturelle pour les Africains réduits en esclavage. Bien que portées par des personnes de diverses origines, les tresses restent un symbole puissant de l’identité noire. Aujourd’hui, les tresses continuent d’influencer des générations, inspirant des mouvements de reconnaissance de la beauté noire et célébrant la diversité culturelle.
Le Flat top
La coiffure flat top est née dans les années 1980 au cœur de la communauté afro-américaine. Elle tire ses origines des styles de coiffure similaires, comme le high-top fade. Popularisée par des sportifs et des rappeurs tels que le group de rap Kid ‘n Play ou l’acteur Will Smith dans Le Prince de Bel-Air, cette coiffure, aussi extravagante soit-elle, est devenue un symbole d’affirmation de soi et de fierté culturelle au sein de la communauté noire américaine. Son impact a été tel qu’elle ne s’est pas limitée aux Afro-Américains : dans les années 1980 et 1990, le flat top était visible sur toutes les têtes, à la télévision et dans les films. Aujourd’hui, cette coiffure symbolise audace et créativité pour se démarquer des autres. Parmi les personnalités publiques qui la portent actuellement, le rappeur Suspect 95 l’affiche fièrement comme un signe distinctif de son individualité. Le flat top continue de refléter une période de renouveau culturel et de revendication de l’identité noire, tant dans les années 1980 que dans le présent.
Le Dégradé
Appelé « fade » en anglais, le Dégradé est l’une des coiffures afro les plus populaires au monde, un standard absolu de beauté pour les hommes afro. Ses origines remontent aux années 1940, et comme le flat top, elle a gagné en popularité dans les années 1980 avec l’essor du hip-hop. Cette coupe symbolise une transition progressive entre des cheveux courts sur les côtés et à l’arrière de la tête, et des cheveux plus longs au sommet. Ce style a été popularisé à l’époque par des barbiers afro-américains dans les quartiers noirs des États-Unis, devenant ainsi un symbole culturel et identitaire pour les Afro-Américains. Avec le temps, cette coiffure est devenue si populaire qu’elle s’est répandue dans le monde entier, appréciée pour son apparence simple, polyvalente et élégante à la fois. Des quartiers des États-Unis aux rues de Paris, en passant par les villes africaines comme Kinshasa, le dégradé est omniprésent. Il a ainsi contribué à l’évolution des standards de beauté masculine et a permis aux barbiers de perfectionner leur art, répondant à une demande croissante pour des coupes de plus en plus sophistiquées. Plus qu’une simple coupe de cheveux, le dégradé est devenu un symbole fort de l’expression personnelle dans la culture contemporaine.
Les Waves
Les waves, ou 360 waves, sont une coiffure afro remontant à l’Égypte ancienne, où des pommades comme la cire d’abeille étaient utilisées pour créer des ondulations dans les cheveux, reflétant le statut social. Après avoir disparu, cette tradition a resurgi au 20e siècle, devenant populaire chez les Afro-Américains des années 1920-1930, qui ont adopté des techniques modernes incluant le durag pour maintenir les waves en place. Symbole culturel fort de la communauté afro, les waves ont gagné en popularité dans les années 1980-1990 grâce à des figures publiques comme P. Diddy et restent aujourd’hui un élément important de la culture capillaire afro, représentant à la fois un lien avec les racines africaines et une forme d’expression personnelle.
Les coiffures afro, emblèmes puissants de culture et de l’identité afro, connaissent aujourd’hui une popularité sans précédent à l’échelle mondiale. Au fil des ans, ces coiffures ont associé traditions et modernité. Les dreadlocks, par exemple, fusionnent spiritualité et modernité, traversant diverses cultures tout en portant une signification profonde.
J’en profite alors de cet occasion pour vous présenter 5 des coiffures afro les plus populaire et leurs origines :
Les Dreadlocks
Les dreadlocks, ou encore appelées locs ou dreads par certains, sont une coiffure d’origine africaine et caribéenne. Elles tirent leurs origines de l’Égypte antique et de l’Inde, les dreadlocks sont portées depuis des milliers d’années. Dans la culture africaine, les dreads portent plusieurs significations. Au Kenya, les guerriers Mau Mau portaient cela pour signifier la rébellion contre le colonialisme britannique dans les années 1950.En Jamaïque, chez les rastafari, les locs sont considérées comme une manifestation physique des croyances spirituelles et culturelles, ainsi que l’acceptation de la rébellion contre l’oppression. Aujourd’hui, les dreadlocks sont adoptées par des personnes de toutes origines et sont souvent vues comme un symbole d’identité culturelle, de spiritualité et d’expression personnelle.
Les Tresses ou Braids
Portées autrefois par les Yoruba, les Himba, et les Peuls, les tresses africaines ont une histoire très riche qui remonte à bien avant notre ère, précisément à 22 000 ans avant Jésus-Christ. Leur utilité ne se limitait pas à l’aspect esthétique, mais servait aussi à exprimer l’appartenance culturelle et à affirmer l’identité ethnique. Les tresses permettaient de distinguer l’âge, la religion, le statut social, et même la richesse d’une personne. Elles étaient fièrement arborées aussi bien par les hommes que par les femmes ; par exemple, plus la coiffure était complexe, plus la personne était considérée comme aisée financièrement ou issue d’une bonne famille. Avec le temps, notamment à cause de l’esclavage, ces coiffures se sont répandues dans le monde entier et sont devenues un symbole de résistance culturelle pour les Africains réduits en esclavage. Bien que portées par des personnes de diverses origines, les tresses restent un symbole puissant de l’identité noire. Aujourd’hui, les tresses continuent d’influencer des générations, inspirant des mouvements de reconnaissance de la beauté noire et célébrant la diversité culturelle.
Le Flat top
La coiffure flat top est née dans les années 1980 au cœur de la communauté afro-américaine. Elle tire ses origines des styles de coiffure similaires, comme le high-top fade. Popularisée par des sportifs et des rappeurs tels que le group de rap Kid ‘n Play ou l’acteur Will Smith dans Le Prince de Bel-Air, cette coiffure, aussi extravagante soit-elle, est devenue un symbole d’affirmation de soi et de fierté culturelle au sein de la communauté noire américaine. Son impact a été tel qu’elle ne s’est pas limitée aux Afro-Américains : dans les années 1980 et 1990, le flat top était visible sur toutes les têtes, à la télévision et dans les films. Aujourd’hui, cette coiffure symbolise audace et créativité pour se démarquer des autres. Parmi les personnalités publiques qui la portent actuellement, le rappeur Suspect 95 l’affiche fièrement comme un signe distinctif de son individualité. Le flat top continue de refléter une période de renouveau culturel et de revendication de l’identité noire, tant dans les années 1980 que dans le présent.
Le Dégradé
Appelé « fade » en anglais, le Dégradé est l’une des coiffures afro les plus populaires au monde, un standard absolu de beauté pour les hommes afro. Ses origines remontent aux années 1940, et comme le flat top, elle a gagné en popularité dans les années 1980 avec l’essor du hip-hop. Cette coupe symbolise une transition progressive entre des cheveux courts sur les côtés et à l’arrière de la tête, et des cheveux plus longs au sommet. Ce style a été popularisé à l’époque par des barbiers afro-américains dans les quartiers noirs des États-Unis, devenant ainsi un symbole culturel et identitaire pour les Afro-Américains. Avec le temps, cette coiffure est devenue si populaire qu’elle s’est répandue dans le monde entier, appréciée pour son apparence simple, polyvalente et élégante à la fois. Des quartiers des États-Unis aux rues de Paris, en passant par les villes africaines comme Kinshasa, le dégradé est omniprésent. Il a ainsi contribué à l’évolution des standards de beauté masculine et a permis aux barbiers de perfectionner leur art, répondant à une demande croissante pour des coupes de plus en plus sophistiquées. Plus qu’une simple coupe de cheveux, le dégradé est devenu un symbole fort de l’expression personnelle dans la culture contemporaine.
Les Waves
Les waves, ou 360 waves, sont une coiffure afro remontant à l’Égypte ancienne, où des pommades comme la cire d’abeille étaient utilisées pour créer des ondulations dans les cheveux, reflétant le statut social. Après avoir disparu, cette tradition a resurgi au 20e siècle, devenant populaire chez les Afro-Américains des années 1920-1930, qui ont adopté des techniques modernes incluant le durag pour maintenir les waves en place. Symbole culturel fort de la communauté afro, les waves ont gagné en popularité dans les années 1980-1990 grâce à des figures publiques comme P. Diddy et restent aujourd’hui un élément important de la culture capillaire afro, représentant à la fois un lien avec les racines africaines et une forme d’expression personnelle.
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Lundi : 14h00-19h-30
Mardi – vendredi : 10h30-19h30
Dimanche : 14h30 – 19h
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